| auteur : Romain Tartière (Smortex) |
Lorsque vous faites de grandes pages, comme celle-ci, il est recommandé de
découper votre document en parties, chapitres, sections, sous-sections, et
même sous-sous-sections si cela s'avère nécessaire. Il existe pour cela
cinq commandes : \part, \chapter, \section, \subsection et \subsubsection.
Elles ne demandent qu'un seul paramètre obligatoire : le titre du morceau.
Exemple de création de section en LaTeX |
\section{Alphabet grec}
\subsection{Alpha}
La lettre alpha est bla bla bla ...
\subsection{Beta}
Bla bla bla bla ...
\section{Alphabet hobbit}
Bla bla ...
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| auteur : Romain Tartière (Smortex) |
C'est super simple: lorsqu'on a découpé son document en sections comme
expliqué juste au dessus, il suffit d'utiliser la commande \tableofcontents
à endroit où on souhaite la voir apparaître (Mais vous pouvez aussi la
mettre plusieurs fois si ca vous fais plaisir).
Exemple de table des matières |
\tableofcontents
\section{Ma section}
Bla bla bla ...
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| auteurs : the crow, Olivier Lance, Romain Tartière (Smortex) |
Pour créer des sections non-numérotées, il faut rajouter le caractère *
entre la commande \section et le titre de la section.
Exemple de section non-numérotée |
\section{Section numérotée}
\section*{section non numérotée}
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Bien sûr, cela marche avec tous les types de sections: \part, \chapter,
\section...
Afin d'ajouter cette section non numérotée au sommaire, il faut appeler
une seconde commande :
Exemple |
\addcontentsline{toc}{part}{Introduction}
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Il faut utiliser des étoiles pour que les sections ne soient pas numérotées,
mais comme elles sont alors retirées de la table des matières, il faut les
remettres :
Exemple |
\chapter*{Introduction}
\addcontentsline{toc}{chapter}{Introduction}
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| auteur : Romain Tartière (Smortex) |
Il est possible de faire un système de références croisées en utilisant deux
commandes : \label pour mettre une marque et \ref pour y faire référence.
Les deux prennent un seul argument obligatoire : le nom de la référence.
Exemple |
\section{Foo}\label{foo}
[...]
Comme indiqué dans la section~\ref{foo} page~\pageref{foo}.
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| auteur : Romain Tartière (Smortex) |
Le package varioref contient la commande \vpageref qui s'utilise comme la
commande \pageref mais remplace certaines maladresses par du texte en
francais (sur cette même page, page suivante, etc ...). Il ne faut pas
oublier de lui dire d'utiliser le francais en spécifiant l'option french.
Exemple |
\usepackage[french]{varioref}
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| auteur : COTI Camille |
Tout d'abord, il faut charger le module adéquat :
Il faut inclure dans le préambule du document (avant le \begin{document}) :
Dans votre document, les éléments de l'index sont définis en insérant la commande :
Clef est un mot-clé de l'index. On peut définir des sous-entrées, par exemple :
Exemple |
\index{FAQ}
\index{FAQ!LaTeX}
\index{FAQ!C}
\index{FAQ!Java}
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Ici, LaTeX, C et Java sont des sous-entrées de l'entrée FAQ.
On peut aussi formater l'entrée ou le numéro de page associé :
Exemple |
\index{FAQ@\textit}
\index{FAQ|textbf}
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Dans le premier cas, FAQ apparaitra en gras. Dans le deuxième, c'est
uniquement le numéro de page qui apparaitra en gras. À l'endroit où
devra apparaitre l'index.
La compilation génère, en plus des fichiers habituellement générés, un
fichier portant le même nom que les autres, avec l'extension .idx. Il est
traité par un programme nommé makeindex (ou makeidx sur certaines machines) :
Exemple |
makeindex nomdufichier.idx
|
Un fichier .ind est généré, dont le contenu sera inclus dans le document à
l'endroit du \printindex à la prochaine compilation.
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| auteur : COTI Camille |
makeindex ne gère pas correctement les caractères accentués, c'est pourquoi
il place systématiquement par exemple les mots commençant par un caractère
accentué en début de l'ordre alphabétique. Pour qu'il les classe
correctement, on utilise la possibilité de définir une clé et l'endroit
où elle sera rangée.
Exemple |
\index{eolienne@éolienne}
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éolienne sera rangée au même endroit que l'aurait été eolienne, sans accent.
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| auteur : Alcée |
A la différence d'un index, un glossaire permet d'ajouter du texte au mot en
référence. Il existe quelques paquets qui permettent cela. Personnellement
j'utilise glossary. Son utilisation se compare à celle de makeidx. Glossary
propose des mots-clés en lieu et place de ceux de makeidx :
- \usepackage{glossary} pour \usepackage{makeidx}
- \makeglossary pour \makeindex
- \glossary pour \index
- \printglossary pour \printindex
Exemple |
\documentclass{report}
\usepackage{glossary}
\makeglossary
\begin{document}
Une ligne histoire\glossary{name=histoire,description=aventure, ...} d'avoir une ligne.
\printglossary
\end{document}
|
Il suffit alors de suivre la même méthode que pour les index :
- Lancer une compilation LaTeX, qui va permettre en autre de créer le fichier .glo, pour makeindex/makeglos.pl.
- Lancer pour créer le fichier .gls d'index:
sous Unix : makeglos.pl nom_fichier_glo sous windows : makeglos.bat nom_fichier_glo
- Lancer encore une fois une compilation LaTeX afin d'intégrer le fichier d'index au travers de \printglossary.
Afin de simplifier l'insertion des mots-clés dans le document. Il est
possible de définir les déclarations du glossaire en dehors du corps du
document par la commande \storeglosentry{nom_macro}{name=nom_afficher_ds_le_glossaire,
description={chaîne_de_description}}. Par exmple dans un fichier à part qui
serait appelé grâce à la commande \include afin de ne pas polluer. Dans le
corps du document on fait alors référence à chaque définition de macro du
glossaire par le mot-clé \gls{nom_macro}.
Exemple |
\documentclass{report}
\usepackage{glossary}
\makeglossary
\storeglosentry{hist}{name=histoire,description=aventure, ...}
\begin{document}
Une ligne \gls{hist} d'avoir une ligne.
\printglossary
\end{document}
|
Et de fait on peut faire autant de référence à la même macro avec \gls dans
le corps du document.
Une autre fonctionnalité sympathique est la création de liens en ajoutant
le paquet hyperref avant le paquet glossary.
Exemple |
\documentclass{report}
\usepackage{hyperref}
\usepackage{glossary}
\makeglossary
\storeglosentry{hist}{name=histoire,description=aventure, ...}
\begin{document}
Une ligne \gls{hist} d'avoir une ligne.
\printglossary
\end{document}
|
Il faut pour cela utiliser un compilateur LaTeX qui comprend les liens comme
PDFLatex.
Une fois compiler, chaque référence à une page dans le glossaire est un lien
vers le mot en référence, ainsi que chaque mot du document définit par \gls
est un lien vers le glossaire. Attention pour l'instant si le paquet babel
est activé avec l'option frenchb, les liens des mots du documents vers le
glossaire pointent vers la page 1, à suivre...
Vous trouverez un correctif à cette adresse:
http://theoval.cmp.uea.ac.uk/~nlct/latex/packages/index.html#glossary
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lien : ftp://tug.ctan.org/pub/tex-archive/macros/latex/contrib/glossary/manual.html
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| auteur : sergentgarcia |
Par défaut, lorsqu'un niveau hiérarchique est incrémenté, tous les niveaux
inférieurs sont remis à zéro.
Par dérogation, la commande \part ne remet pas à zéro la commande inférieure
(\chapter dans les classes book ou report ou la commande \section dans la
classe article).
Pour modifier ce comportement, il faut modifier la commande \@addtoreset :
Exemple |
usepackage{remreset} \makeatletter \@addtoreset{chapter}{part} \makeatother
|
L'utilisation de la commande \@addtoreset permet de modifier un compteur
déjà défini. Dans le cas contraire, il aurait suffit d'écrire
\newcounter{chapter}[part] dans le préambule.
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| auteur : sergentgarcia |
Par défaut les titres sont numérotés jusqu'au niveau 2 (jusqu'à subsection).
Pour numéroter jusqu'au niveau n, il faut modifier le compteur secnumdepth.
Par exemple, pour numéroter les subsubsection (niveau 3), on utilisera :
Exemple |
\setcounter{secnumdepth}{3}
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Ou de manière équivalente, on peut incrémenter les compteurs pour numéroter
les niveaux hiérarchiques suivants :
Exemple |
\addtocounter{secnumdepth}{1}
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Consultez les autres F.A.Q's
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