| | auteurs : Ashgenesis, Jean-Marc.Bourquet |
Pour inclure un fichier, plusieurs manières de faire:
La commande \input{fichier} : remplace par le contenu de fichier.tex. Fichier
peut lui-meme inclure une commande \input.
La commande \include{fichier} : insère fichier.tex ou sa version pré-compilée.
Le fichier ne sera recompilé s'il n'a pas été modifié depuis la dernière
compilation. \include ne peut apparaître dans l'en-tête, et le texte inséré
doit former un ensemble de pages indépendantes.
La commande \includeonly{fichier1, fichier2, ...} : placée dans l'en-tête,
restreint la liste des fichiers insérés à l'aide de la commande \include.
Les fichiers absents de la liste ne seront pas remis à jour même s'ils ont
été modifiés depuis la dernière compilation.
Il n'y a pas de version pre-compilee, tout les fichiers inclus sont toujours
completement recompiles. Ce qui se passe avec includeonly, c'est que les
fichiers auxilliaires qui servent pour les references, tables des matieres,
etc sont charges pour toutes les sources specifiees par \include, mais
seules les sources aussi donnees dans \includeonly s'il y en a un sont
recompilees.
|
| | auteur : Romain Tartière (Smortex) |
Naturellement !
Pour déclarrer un compteur :
| Exemple |
\newcompteur{NomDuCompteur}
|
Pour l'incrémenter :
| Exemple |
\addtocounter{NomDuCompteur}{Valeur}
|
Pour l'utiliser, selon la représentation que l'on veut, on utilisera l'une
des commandes suivantes :
| Exemple |
\arabic{NomDuCompteur}
\arabic{NomDuCompteur}
\Alph{NomDuCompteur}
\alph{NomDuCompteur}
\Roman{NomDuCompteur}
\roman{NomDuCompteur}
|
On peut utiliser ces commandes dans d'autres commandes, exemple :
| Exemple |
\newcounter{tata}
% \ph command
% Insert the next picture here !
\newcommand{\ph}[1]{%
\addtocounter{tata}{1}%
\begin{center}
\noindent \includegraphics[width=#1]{images/\arabic{tata}.eps}%
\end{center}
}
|
|
| | auteur : ghostdogpr |
Il faut utiliser la commande \newcommand:
| Exemple |
\newcommand{MaCommande}[NbArg]{Def}
|
- MaCommande : nom par lequel vous appelerez votre commande
- NbArg : nombre d'arguments (0~9)
- Def : contenu de votre fonction. Il faut utiliser #1 pour appeler l'argument 1, #2 pour le 2, etc
Exemple :
| Exemple |
\newcommand{\MonTitre}[1]{\textbf{#1} \vspace{0.2cm} \hrule \vspace{1cm}}
|
vous permettra d'avoir un titre en gras avec une hrule au simple
appel de \MonTitre{toto}.
|
| | auteur : ghostdogpr |
Il suffit d'utiliser la commande \renewcommand de la meme manière que \newcommand.
|
| | auteur : Konrad Florczak |
En utilisant le package pdfpages
Ceci n'est valable que pour le pdfLATEX, il permet d'inclure des fichiers
pdf dans votre document final. Pour ce faire il suffit simplement d'inclure
dans votre document le package pdfpages et de taper dans votre éditeur.
| Exemple |
\includepdf[pages=-]{votre_fichier}
|
les options d'insertion sont variées, par exemple l'option [pages=-] veut
dire : insertion de toutes les pages contenues dans le pdf.
|
| | auteur : Konrad Florczak |
Voici les principale couleur à définir dans un fichier .tex tout ce qu'il
faut faire ensuite c'est :
- Le definir en tant que nouvelles commandes pour chaque couleur: \definecolor{orange}{rgb}{1.00,0.50,0.00}
- Sauvegarder le fichier tex en couleurs.tex
- Inserez le dans les déclarations avant le \begin{document} comme ceci: \input{couleurs.tex}
| Exemple |
\textcolor[rgb]{1.00,1.00,1.00}{blanc}
\textcolor[rgb]{1.00,1.00,0.00}{jaune}
\textcolor[rgb]{1.00,0.50,0.00}{orange}
\textcolor[rgb]{1.00,0.00,0.00}{rouge}
\textcolor[rgb]{0.00,1.00,0.00}{vert clair}
\textcolor[rgb]{0.00,0.50,0.00}{vert sombre}
\textcolor[rgb]{0.00,1.00,1.00}{cyan}
\textcolor[rgb]{0.00,0.00,1.00}{bleu}
\textcolor[rgb]{0.00,0.00,0.50}{bleu foncé}
\textcolor[rgb]{0.50,0.00,0.50}{violet}
\textcolor[rgb]{0.50,0.25,0.00}{marron clair}
\textcolor[rgb]{0.26,0.13,0.00}{marron sombre}
\textcolor[rgb]{0.75,0.75,0.75}{gris clair}
\textcolor[rgb]{0.50,0.50,0.50}{gris}
\textcolor[rgb]{0.00,0.00,0.00}{noir}
|
|
| | auteurs : Le Barde, Reecht Yves |
La communauté des utilisateurs de LaTeX a développé une grande quantité de
packages. La plupart de ceux-ci se trouvent sur le site http://www.ctan.org.
Certaines distributions LaTeX, comme MikTeX, permettent l'installation
automatique de packages, mais la plupart ne proposent pas cette fonctionnalité.
Voici la marche à suivre pour installer un package manuellement (dans le cas
classique) :
Dans ce qui suit, l'emplacement $TEXMFLOCAL peut être remplacé par $TEXMFHOME
selon la porté choisie. Pour plus d'information à ce propos, consulter Où
installer un package LaTeX manuellement ?
1. Télécharger et décompresser le paquet (sur http://www.ctan.org par exemple) ;
2. Sous Linux, faire :
| Exemple |
sudo cp -r mon_répertoire_paquet/ $TEXMFLOCAL/tex/latex/
|
Sous Windows, copier le paquet dans le répertoire :
3. Aller dans ce répertoire ; s'il y a un makefile, entrer la commande
4. Sous Linux, taper ensuite :
Sous Windows :
Le paquet est alors installé et est utilisable par la commande \usepackage{}.
Remarque :
Parfois les packages sont donnés sans makefiles et contiennent sont
accompagnés uniquement de deux fichiers fichier.ins et fichier.dtx.
Dans ce cas, des étapes de compilation supplémentaires sont nécessaires
(elles doivent être faites avant la copie vers l'arborescence de la
distribution) :
pour créer le fichier fichier.sty, puis :
Note : $TEXMFLOCAL et $TEXMFHOME correspondent aux localisations (chemin)
de différentes arborescences utilisables par la distribution LaTeX. Pour
connaître leurs différences et savoir où les trouver, se référer à Où installer
un package LaTeX manuellement ?
|
| | auteur : Reecht Yves |
Les packages peuvent être ajoutés manuellement - au choix - dans 2 arborescences
distinctes, en fonction de la portée mono- ou multi-utilisateur(s) - désirée:
- TEXMFLOCAL : l'arborescence locale multi-utilisateurs. Les fichier qu'elle contient sont utilisables par plusieurs utilisateurs de la machine.
- TEXMFHOME : l'arborescence utilisateur (apparemment pas disponible sous MiKTeX). Elle permet notamment aux utilisateurs ayant des droits d'écriture restreints d'installer des packages personnels. Elle doit donc se situer dans un répertoire où l'utilisateur a le droit d'écrire.
Voyons maintenant où les trouver (ou bien les définir) pour les deux principales
distributions de LaTeX.
TeXLive (sous GNU/Linux, ici une Ubuntu 8.04, sans doute valable pour d'autres
distributions) :
Les définitions des différentes arborescences de la distribution LaTeX peuvent
être trouvées dans le fichier
Certaines arborescences ne devraient pas être modifiées manuellement (elle sont plutôt
destinées au(x) gestionnaire(s) de paquets), il s'agit des arborescences
$TEXMFMAIN (= /usr/share/texmf) et $TEXMFDIST (= /usr/share/texmf-texlive)
Deux possibilités se présentent alors :
1. Pour une installation multi-utilisateurs (privilèges super-utilisateur
requis), les fichiers doivent être placés dans
$TEXMFLOCAL (= /usr/local/share/texmf)
|
Si cette arborescence n'existe pas, la créer avec la commande (dans un terminal):
$ sudo mkdir /usr/local/share/texmf
|
Pour la suite des opérations voir :  Comment installer un package LaTeX ?
2. Pour une installation mono-utilisateur (pas de privilège super-utilisateur
requis), les fichiers doivent être placés dans
$TEXMFHOME (= $HOME/texmf)
|
De même si le dossier n'existe pas, lancer dans un terminal :
Note 1 : lors de l'installation des fichiers dans $TEXMFHOME, ne pas faire précéder
la commande de copie (cp) de sudo.
Note 2 : Il n'est pas nécessaire dans ce dernier cas d'exécuter la commande
texhash pour compléter l'installation. Il n'y a en principe pas de base de donnée
des fichiers présents qui soit maintenue pour cette arborescence (voir la
définition de la variable $TEXMFDBS dans le fichier texmf.cnf). Celle-ci est
donc parcourue récursivement avant chaque compilation... et il est donc
déconseillé d'y installer de trop nombreux dossiers et fichiers.
Pour TeXLive sous Windows, le principe est le même. Les emplacements des
différentes arborescences peuvent être trouvés dans le fichier
[dossier d'installation]\texmf-var\web2c\texmf.cnf
|
Dans celui-ci, la variable $SELFAUTOPARENT représente le dossier où la
distribution est installée (e.g. C:\LaTeX)
MiKTeX (Windows) :
Seule l'arborescence correspondant à $TEXMFDIST (arborescence de la distribution)
est installée par défaut. Elle se trouve par exemple dans
C:\Program Files\Miktex 2.7\
|
Attention ! Contrairement à ce qui est souvent proposé sur les forums, il est
déconseillé d'y installer des packages/modèles/feuilles de style manuellement :
ils risquent d'être perdus lors de mises à jour.
Une bonne façon de procéder est de définir au préalable une arborescence locale
($TEXMFLOCAL)
dans le menu démarrer: Settings > onglet Roots > Add...
|
|
| | auteur : Germain Salvato Vallverdu |
Ce qui suit utilise le package titlesec, il faut donc mettre dans le préambule la ligne suivante :
\usepackage{titlesec}
Si l'on souhaite juste modifier le format des sections (mettre en gras, en italique en couleur ect ...) sans
modifier les espacements avant ou après le titre ou encore la position (centrée, à droite ect ...) il suffit
de rajouter dans le préambule :
| Modification simple du format |
\titleformat*{commande}{format}
% par exemple pour mettre en gras les sections et en italique les subsections
\titleformat*{\section}{\bfseries}
\titleformat*{\subsection}{\itshape}
|
Pour modifier de manière plus importante les sections, on va utiliser les commandes \titleformat et
titlespacing*. La première permet de modifier le format, la position et d'ajouter des éléments autour
des sections. La seconde permet de gérer l'espacement avant et après une section.
| Syntaxe générale de \titleformat |
\titleformat{ command }[ shape ]{ format }{ label }{ sep }{ before }[ after ]
|
-
command est la section que l'on veut redéfinir : \part, \chapter, \section,
\subsection ...
- La forme du paragraphe qui contient le titre de la section est donné par shape.
Il faut se référer au
 manuel
pour connaître les formes disponnibles.
La forme classique est hang, la forme block permet entre autre de centrer les sections
et runin permet de faire des section sans passer à la ligne. Il en existe d'autre, allez voir
le manuel
-
format est le format à appliquer à l'ensemble du titre et du label.
- Le label est définit dans label on peut le laisser vide si on ne veut pas numéroter
mais cela ne supprime pas la numérotation dans la table des matières.
-
sep est la distance qui sépare le label et le titre. Elle doit être donnée (mettre 0
si on ne veut pas de séparation) et dans une unité connu par latex. Son comportement peut varier
selon shape.
-
before C'est le code qui précède le titre.
-
after c'est le code qui suit le titre.
Voici un exemple simple qui modifie les sections. Il utilise la forme block, les sections sont centrées,
en gras et le label est en italique et encadré :
| exemples |
\titleformat{\section}[block]{\normalfont\bfseries\filcenter}{\fbox{\itshape\thesection}}{1em}{}
|
Le manuel
fournit beaucoup d'exemples.
| Syntaxe et exemple de titlespacing* |
% syntaxe
\titlespacing*{ command }{ marge à gauche }{ espace avant }{ espace après }[ marge à droite ]
% la marge à droite est facultative et dépend de la forme choisie dans titleformat
% l'espace après est vertical ou horizontal suivant la forme choisie dans titleformat
% exemple
\titlespacing*{\section}{\parindent}{*2}{\wordsep}
|
- Utilisation d'une macro au lieu du package titlesec
On peut utiliser une macro dans le préambule pour modifier le style des sections. Voici une explication
rapide vous pourrez trouvez une explication plus détaillée
 ici :
| Macro pour modifier les styles des sections |
%%% explication
\renewcommand\nom_section{ en debut de section {nom_section} {niveau table des matières} {indentation}%
{espace avant}
{espace après}
{format}
%%%% début macro modification des sections %%%%
\makeatletter
\renewcommand\section{\@startsection {section}{1}{\z@}%
{-3.5ex \@plus -1ex \@minus -.2ex}%
{2.3ex \@plus.2ex}%
{\normalfont\Large\bfseries\color{DarkBlue}}}
\renewcommand\subsection{\@startsection{subsection}{2}{\z@}%
{-3.25ex\@plus -1ex \@minus -.2ex}%
{1.5ex \@plus .2ex}%
{\normalfont\large\bfseries\color{DarkBlue}}}
\renewcommand\subsubsection{\@startsection{subsubsection}{3}{\z@}%
{-3.25ex\@plus -1ex \@minus -.2ex}%
{1.5ex \@plus .2ex}%
{\normalfont\normalsize\bfseries\color{DarkBlue}}}
\renewcommand\paragraph{\@startsection{paragraph}{4}{\z@}%
{3.25ex \@plus1ex \@minus.2ex}%
{-1em}%
{\normalfont\normalsize\bfseries\color{DarkBlue}}}
\renewcommand\subparagraph{\@startsection{subparagraph}{5}{\parindent}%
{3.25ex \@plus1ex \@minus .2ex}%
{-1em}%
{\normalfont\normalsize\bfseries\color{DarkBlue}}}
\makeatother
%%%% fin macro %%%%
|
|
| | auteur : Reecht Yves |
Il peut être intéressant parfois d'ajouter un contenu ou des commandes de formatage
ponctuel(les) dans la table des matières (mais également dans une liste des figure
ou des tableaux).
La commande pour ajouter quelque chose à la table des matières (TDM) est
\addtocontents{toc}{Le contenu à ajouter à la table des matières}
|
Si le contenu inclue des commandes, il faut dans la plupart des cas les protéger
afin qu'elles ne soient pas évaluées avant d'être ajoutées dans le fichier .toc.
\addtocontents{toc}{\protect\commande_à_protéger}
|
Exemples:
1. Ajouter un saut de page dans la TDM, avant une section donnée
\addtocontents{toc}{\protect\newpage}
\section{Une section}
|
2. Ajouter un filet dans la TDM avant une section (oui, il y a des risques que ce
soit moche, mais c'est pour l'exemple !)
\addtocontents{toc}{\protect\noindent
\protect\rule{\linewidth}{1pt}}
\addtocontents{toc}{} % Pour la classe article
\section{Une autre section}
|
Notez bien que chaque commande est protégée.
Voyons maintenant deux exemple un peu particulier puisqu'ils ont un effet sur
l'ensemble de la TDM.
A. Vous souhaitez supprimer la numérotation dans la TDM, mais sans redéfinir le
style de page plain à l'aide du package fancyhdr ?
Il suffit d'appliquer le style de page empty à la TDM en ajoutant dans le préambule :
\addtocontents{toc}{%
\protect\thispagestyle{empty}%
\protect\pagestyle{empty}}
|
Il peut également être nécessaire d'ajouter dans le corps de texte (à vous de
voir si votre mise en page est correcte sans...)
\pagestyle{empty}
\tableofcontents{}
|
B. Ce n'est pas parce que l'on compose en interligne 2 ou bien avec d'importants
sauts de paragraphe que l'on apprécie forcément d'avoir une TDM très aérée qui
s'étale sur 3 pages. L'espace inter-ligne et les sauts de paragraphe peuvent
donc être réduits en ajoutant dans le préambule :
\addtocontents{toc}{%
\protect\setlength{\baselineskip}{1.5em} % espace entre les lignes
\protect\setlength{\parskip}{0pt}} % sauts de paragraphe
|
Remarques importantes :
Pour ajouter un contenu explicite (filet, texte,...) avant une commande de
sectionnement dont la définition n'utilise pas \@startsection, c-à-d part et
section pour la classe article et part et chapter pour les classes report et
book, il est nécessaire de faire précéder l'entrée dans la TDM par une ligne vide
(cf. exemple 2.) :
\addtocontents{toc}{Texte} % Contenu explicite
\addtocontents{toc}{} % Ligne vide
\part{...} % Section
|
Les exemples précédents peuvent être très facilement adaptés à la liste des
figures ou des tableaux en remplaçant simplement toc respectivement par lof et lot.
\addtocontents{lof}{Et maintenant une figure dont je suis particulièrement fier:}
\begin{figure}[h]
...
|
Pour modifier globalement la police où la couleur des entrées de la table, il
est préférable d'utiliser le package titletoc.
Ne pas utiliser cette méthode pour ajouter une entrée à la table : il existe pour
cela une commande dédiée
\addcontentsline{toc}{section}{Introduction non numérotée}
|
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Consultez les autres F.A.Q's
 
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